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Voyage « chaud » au Maroc septembre 2013

 

Avec Grégoire, nous nous connaissons depuis plusieurs années.

Etudiants, nous avions le même job, ce qui nous permettait d’être un peu plus indépendants financièrement de nos parents. Le weekend où pendant les vacances on se retrouvait avec d’autres potes pour faire du service pour un traiteur. Et puis à force de se voir, de se revoir et de s’apprécier de plus en plus, nous avons fini par  coucher ensemble et je suis allée habiter chez lui.

G. finissait ses études de BTS de technicien informatique et moi j’étais infirmière dans une clinique.

G. est adorable et était très amoureux de moi depuis pas mal de temps. Pour moi au début je ne le voyais que comme un ami, mais nous avions tellement de points communs sur la façon de voir les choses et de voir la vie, que j’ai fini moi aussi par ne plus pouvoir me passer de lui. Physiquement, c’est un grand blond de près d’1m90 avec de très beaux yeux bleus et un sourire qui fait craquer…

Moi, pas très grande (1m60), cheveux longs  bruns, mince, avec les yeux marron foncés une assez forte poitrine et de jolies fesses (paraît-il! ;)

Une année se passe, et pour fêter sa réussite au BTS. Grégoire me fait une surprise ! Il achète 2 billets d’avion pour le Maroc ! Moi qui en rêvais depuis si longtemps.

Nous avions décidé d’aller à Essaouira via Marrakech.

Quelques jours à Marrakech, visite des souks et de tout ce qui est proposé au touriste ordinaire. Enchantement de l’Afrique avec ses odeurs d’épice, ses couleurs, le bruit et l’ambiance particulière de la ville et puis la gentillesse des marocains…

Voyage épique en bus (climatisé !) vers Essaouira. Pendant le voyage nous faisons connaissance d’un couple de belges qui comme nous partent pour découvrir la vieille « Mogador ». Louise et Tony ont 45-50 ans environ et son super sympas et naturels.

Arrivés à Essaouira, (on a failli mourir 10 fois) le bus nous laisse près des remparts de la vieille ville ou il y a plusieurs types qui proposent des pensions dans des riads ou des hôtels. On se concerte avec nos nouveaux amis belges et on se décide pour une pension « chez Brahim » dont nous avions entendu parler par nos parents !  Les bagages sont embarqués dans une carriole et nous suivons le porteur jusqu’au riad qui se trouve dans une ruelle dans la ville fortifiée.

Je passe les détails des jours passés à Essaouira. C’était vraiment super  et le climat est beaucoup plus frais qu’à Marrakech, très agréable malgré le vent.

Chez Brahim nous prenions notre petit déjeuner sur la terrasse de la pension et j’ai eu la surprise de reconnaître une pensionnaire. C’était une infirmière que j’avais connue lors d’un stage pendant ma formation de 1^ère année à l’hôpital et qui était loin d’être cool avec les élèves. Je me souviens qu’elle parlait souvent de sa famille et de ses enfants.

Moi, j’étais dégoûtée… Si loin ! et tomber sur elle !

Elle était arrivée la veille avec son mari pour 15 jours.

Je ne me souvenais plus de son prénom, je vais donc la voir pour me faire reconnaître et effectivement elle se rappelle vaguement de moi (les stagiaires défilent dans les services!)

Son prénom est Mélissa elle a environ 38 ans. Elle est très réservée avec l’air un peu sévère, assez jolie, cheveux bruns, mi-longs, des sourcils très marqués, de magnifiques yeux bleus, pas très grande, jolies jambes, étroite de hanche et une petite poitrine…

Son mari Vincent qu’elle nous présente doit bien avoir dans les 40 - 45 ans, c’est un « commercial » et il a pas mal de tchatche, un look de sportif et est tout de suite très à l’aise avec tout le monde !

Au bout de quelques jours, nous avions à peu près fait le tour de ce qu’il y avait à découvrir sur Essaouira, le couple de belges nous demande si nous serions intéressés pour faire une excursion en argumentant qu’à plusieurs cela réduirait les frais etc. Pourquoi pas ? G. et moi avions le projet de toute façon de louer un 4x4 et de découvrir un peu plus le pays le sud…

Mélissa et Vincent sont également ok pour ce projet.

Nous allons dans une agence pour réserver un voyage de 4 jours dans le sud marocain qui se terminera dans le désert avec marche d’1/2 journée à dos de chameau, repas berbère et nuit dans la tente bédouine. L’aventure quoi !

Le surlendemain nous voila partis en minibus avec un guide : Farid (très beau mec d’environ 25 ans…hum !) et un chauffeur Ahmed (« armoire à glace » très brun de peau de 45- 48 ans)

Farid est étudiant en communication à Casablanca mais nous comprenons qu’il est originaire de la région ou nous allons, il connaît donc le coin comme sa poche et parle parfaitement français.

Voyage très bien organisé à tous points de vue, découvertes et visites agréables et variées, pensions sympas et personnel très accueillant.

Je remarque que Vincent est souvent près de moi dans les visites, qu’il a même tendance à me frôler et même parfois à me toucher par inadvertance. Est-ce ma poitrine qui ne le laisse pas indifférent ?;). Moi je fais celle qui ne remarque rien, la gourdasse parfaite. J’en rajoute même un peu quelquefois en me collant malencontreusement à lui ou en lui offrant la vue plongeante sur mon décolleté. Mélissa et Grégoire ne semblent se rendre compte de rien…

4^ème jour. Nous laissons le minibus dans un garage de l’agence et nous récupérons nos dromadaires!

Petit cours de conduite ! C’est têtu un chameau ! Mais ils sont très habitués en fait et une personne les tient par la bride !

Nous partons assez tôt le lendemain pour pouvoir arriver vers midi ou le repas « Berbère » sera prêt !

Un peu le mal de mer (si si !), mais paysage magnifique. On nous a déguisés en touareg avec saroual, chèche etc. On se reconnaît à peine … C’est drôle.

On arrive au campement…C’est un campement nomade pour touristes bien sûr, à proximité d’un village, mais une dizaine de tentes est bien installée là ; à l’intérieur d’un grand espace délimité par une palissade en roseau, elles sont assez espacées les unes des autres et chaque tente à sa propre palissade fermée en demi-cercle avec des sortes de plancher en caillebotis qui servent de trottoir.

On remarque la tente restaurant qui est beaucoup plus grande que les autres au centre.

La matinée a été assez éprouvante car nous avons alterné la marche et le dos de chameau.

Nous sommes très heureux de faire une toilette (et oui !) et de revêtir une robe marocaine  pour les filles et un burnous pour les garçons.

Je n’ai plus de sous vêtement propres et en attendant que ceux que je viens de laver sous la douche sèchent, je suis nue sous mon joli caftan bleu pâle.

Repas traditionnel sous la tente bédouine avec d’autres touristes qui se sont joints à nous (plusieurs 4x4 sont arrivés) Pastilla, couscous et ensuite de très bonnes petites pâtisseries.

Il manque juste un bon vin pour agrémenter le tout. Mais nous nous contenterons d’eau fraiche en bouteille de coca ou de sprite !

Vincent est arrivé à se placer près de moi. Plus exactement comme nous sommes assis en tailleurs sur des tapis et des coussins autours d’une table basse en cuivre, ses pieds sont au contact des miens, et il fait une fixation sur mes seins ! (j’imagine sa réaction s’il se rendait compte ce que je ne porte rien dessous !  Je ne retire pas mon pied car ça m’amuse,  mais ne réponds pas à ses avances non plus. Je trouve ça un peu osé par rapport à sa femme et à Grégoire qui semblent continuer à ne rien voir !).

Le repas terminé chaque couple regagne sa tente pour une sieste attendue… J’ai remarqué que s’il n’y a pas de boissons alcoolisées au menu, par contre Ahmed a proposé discrètement des petites pipes spéciales et G. s’est laissé tenté (il nous arrive de fumer un peu de temps en temps). Du coup il est somnolent et pas de sieste « espagnole ». Juste du repos !

Je suis très frustrée. Chez Brahim ce n’était pas génial pour l’intimité de couple, donc rien depuis 8 jours ! Il faut avouer que question sexe avec Grégoire ce n’est pas très original et cela reste très « classique » en fait. Il me respecte trop et n’ose pas forcément prendre les initiatives. Moi qui au contraire j’aime assez beaucoup être dirigée ou même soumise par les hommes (je l’avoue mais c’est vrai !) et avec lui je reste souvent sur ma faim !

Et puis avec en plus le fait d’être sans sous vêtements et les avec avances de Vincent…

Grégoire commence carrément à ronfler et moi, nue sur le lit, je finis par me prodiguer un petit câlin solitaire mais je n’arrive pas à mes fins, ni avec les mains ni à l’aide de mon flacon de déodorant qui a une forme agréable, ce qui me frustre encore d’avantage et je décide de dormir un peu !

C’est Grégoire qui me réveille, il fait déjà pratiquement nuit. Il me dit qu’il a un mal de tête atroce. Je sors la trousse de médicaments et lui donne 2 comprimés pour la migraine. Il me demande d’aller lui chercher une bouteille d’eau.

Je me dirige vers la tente restaurant et en passant devant celle du personnel marocain je jette un coup d’œil discret à l’intérieur. Il y a Vincent et Farid qui sont assis sur des coussins et qui parlent avec des éclats de rire…

Discrètement je dépasse la tente quand j’entends distinctement Vincent prononcer mon nom. Je me retourne et vais pour répondre : Mais il ne m’appelle pas en fait ! Ils parlent de moi !

Je me plaque contre la toile sans bouger et j’écoute.

Farid dit « non je ne crois pas que ce soit possible ! Elle est avec son mec et ils ont l’air de bien s’entendre ! » Vincent rigole et dit « moi je te dis que c’est possible au contraire ! Elle n’a pas l’air farouche, je l’ai testée à plusieurs reprise ces derniers jours et il y a du répondant je t’assure. En plus tu as vu le cul qu’elle a !  (J’ai chaud d’un seul coup et je sens la sueur qui coule entre mes omoplates) Et ses nichons ? Pour une fille aussi mince c’est assez rare ; elle a dû se les tripoter toute gamine, il parait que ça les fait grossir ! (et il rit).

Oui réponds Farid, mais pas de chance ! Elle est avec son mec, il la surveille et c’est lui qui la baise !

Vincent dit : Tu devrais aller les chercher, on essaiera de trouver un prétexte pour la faire rester après le repas du soir ! Ça fait 10 jours qu’elle me fait baver ! Tu crois qu’elle suce ? Et qu’elle avale ? Et il rit très fort…. (Je me dis que tous les deux ils doivent avoir fait pas mal fait tourner la pipe depuis le repas)

Farid réplique : « Si elle reste après le repas on lui fera manger des gâteaux fourrés… Comme à Mélissa ! »

Vincent dit « Effectivement ça peut l’aider à se lâcher. Mélissa elle n’a pas besoin de ça ! » et il se couche sur les coussins en riant.

Farid dit « tu n’es pas jaloux de savoir que d’autres types baisent ta femme ? » Vincent répond : « Non, on s’est mis d’accord! C’est seulement pendant la période des vacances. Elle aime bien les sensations fortes et dès qu’elle a bu ou fumé un peu elle est intenable !»

Farid réplique : Tu crois qu’avec Amina c’est la même chose ?  Vincent dit « mais oui ! J’en suis sûr, bonne comme elle est ! C’est une petite cochonne qui cache bien son jeu et je pense qu’elle va carrément nous surprendre! »

Farid se lève en disant « J’aimerais bien que tu ais raison ! Je vais les appeler ! Je reviens.».

Vite je file en douce vers le « restaurant » avant qu’il ne sorte et là je me sers une bouteille d’eau fraiche dans la glacière.

Je suis toute troublée et tremblante d’avoir entendu toutes ces choses qu’ils pensent de moi. Ça m’excite en même temps, même si sur le moment je refuse de me l’avouer.

Puis je vais vite porter la bouteille à mon chéri qui est allongé sur le lit, une serviette mouillée sur la tête.

Farid qui est déjà là appelle de l’extérieur en disant « Vous venez manger ? Le buffet sera servi bientôt ! Grégoire me fait « non » de la tête il me dit qu’il préfère se reposer jusque à ce que la migraine soit finie car il a peur que cela empire. « Ok !  Fais comme tu veux et repose toi … Je reviens te voir avant le diner ». Je dis plus fort pour Farid  « je viens tout de suite ! »

J’ouvre 3 ou 4 boutons supplémentaires sur le devant de mon caftan et je sors. Farid est là.

Il fait très sombre maintenant et on est éclairé uniquement par les petites lampes solaires qui bordent les allées. Je gonfle ma poitrine. Je m’approche de lui et lui dis « oui moi j’irais au repas avec tout le monde, mais pour Grégoire je ne sais pas encore.

Quand il a sa migraine, il préfère rester tranquille allongé » Il dit « oui oui ! Je comprends ! Ça me fait plaisir que tu viennes quand même tu sais ! A tout à l’heure Amina ! Je compte sur toi ! Il s’approche et  me chuchote à l’oreille « tu ne mets jamais de soutien gorge ? » Je fais non de la tête. Il rajoute à mon oreille « tu n’en a pas surement pas besoin ? » je fais encore non de la tête… Il sourit et fait demi-tour. Moi je fais mine de rentrer dans ma tente mais après quelques instants je file vers la tente de Vincent et Mélissa.

Il ya juste une petite veilleuse à l’intérieur et allongée dans le sable je regarde par dessous la toile,  j’ai du mal à bien voir.

Après m’être accoutumée à l’obscurité, au bout de quelques instants je distingue parfaitement que Mélissa est à genoux sur un coussin, complètement nue. Ses petits seins tressautent à chaque fois qu’Ahmed qui est derrière elle accroupi, presque assis sur ses fesses la pénètre violemment par derrière.

Je suis étonnée qu’aucun gémissement ne sort de ses lèvres.

De temps en temps sa main fait des va et vient rapides entre ses cuisses, puis elle se tire violemment sur les seins en se pinçant les pointes.

Je l’entends dire «  oui continue comme ça !, plus fort ! ». Je n’en reviens pas ! Je n’arrive pas à m’imaginer que cette femme soit la même personne que l’infirmière sérieuse et tellement intransigeante qui nous montrait les photos de ses enfants et qui était ma maîtresse de  stage à l’hôpital. ? Si je raconte ça à mes collègues elles diront que je suis mégalo !

Ahmed est carrément en train de la défoncer maintenant et elle a l’air d’apprécier vu la manière dont elle bouge son bassin !

De voir cette scène, c’est vraiment très excitant et tout en continuant à regarder, instinctivement, je passe une main sous ma robe.

Quand tout à coup je sursaute et je pousse un petit cri de frayeur  lorsque quelqu’un bute sur moi et trébuche.

C’est Vincent qui  en approchant de sa tente, m’a heurtée. Il est aussi surpris que moi. Je me réajuste un peu et m’assoie dans le sable, sans savoir quelle contenance prendre. Il me dit en chuchotant «  Ou est Grégoire ? Tu l’as abandonné ? Je bafouille je ne sais plus quoi, encore sous le choc de la surprise.

 « Tu es étonnée de voir Mélissa se faire mettre par ce type? En ce moment elle commence tout juste avec Ahmed mais tu sais avant elle s’est tapée Farid ! » Je dis « si tu es d’accord après tout ! C’est votre vie ! Pas la mienne ! »

-« ça t’excite de les regarder ? » dit-il et en même temps il a les yeux dans mon décolleté. Je ne réponds rien et hausse un peu les épaules.

-«  Tu le fait exprès de nous montrer tes nichons hein ? » Je dis : « n’importe quoi ! »

-« Ne me prends pas pour un idiot tu n’as pas mis de soutif ! Tu sais très bien ce que tu fais ! Et quand je te touche le cul pendant les balades tu ne t’en rends pas compte non plus peut être ?  Parfois c’est même toi qui te colle à moi !» Je ne sais plus trop quoi répondre alors je répète encore : «vraiment  n’importe quoi ! »

-«  Tu vas me dire comment tu ressens les choses Amina ! On va être francs tous les deux ok ?

Il ouvre mon décolleté et mes seins sortent de la robe. Je mets une main sur ma poitrine mais  ne dis rien et me mets debout.

-«Assieds toi là et ne fais pas celle qui ne comprend pas.  Vu ton attitude ces derniers jours et le fait que tu sois en train de mater ma femme en ayant l’air d’apprécier ; j’ai bien le droit de te poser quelques questions !  Tu sais, comme au jeu de la vérité ! Je fais chut avec le doigt sur la bouche et dis « pas maintenant, tout à l’heure si tu veux » et je désigne Mélissa et Ahmed du menton.

-« Jure-moi que tu répondras en toutes franchise à toutes les questions que je te poserai? » Je dis « oui oui c’est promis ! »

-« Quand ? » Je réponds « Maintenant je dois retourner voir Grégoire pour voir s’il vient diner avec nous ou pas … Il a une migraine, s’il ne vient pas je te rejoins ici dans ¼ d’heure».

Il me regarde d’un drôle d’air et dit « Ok Amina ! Mais interdit de me dire n’importe quoi ou  me raconter des conneries! » Je réplique en le regardant dans les yeux « sinon j’ai un gage ? »

En partant j’ai encore un regard vers la tente et je vois que maintenant c’est Mélissa qui est assise sur Ahmed et qui s’empale toujours en se pinçant les seins et je me dis que vue de dos comme ça, elle a vraiment un cul de salope cette nana qui sait si bien cacher si bien son jeu!

Arrivée à notre tente, j’entre sans faire de bruit, après avoir reboutonné le haut de ma robe. Grégoire semble dormir, toujours avec sa serviette sur le front. Je m’approche de lui et l’appelle doucement. Pas de réponse… Il a fini par s’endormir… Je suis contente pour lui car une migraine est vraiment douloureuse et il est difficile de l’enrayer quand il fait chaud ou qu’on a abusé de l’alcool (ou d’autres choses).

Je griffonne un mot que je place sur sa table de nuit en lui disant que je suis au repas avec les amis et qu’ensuite il y a un spectacle qui est prévu au village, que je risque de ne rentrer qu’assez tard, qu’il ne s’inquiète pas.

Je récupère mon soutif et ma culotte qui sont à moitié secs et je les fourre dans mon sac.

Je passe sous la douche, l’eau est bien fraiche c’est agréable. Un petit coup de rasoir sous les aisselles et aussi entre les cuisses, un peu de crème hydratante sur le corps et le visage et je termine par le stick de deo. Mes cheveux sont encore humides alors je les attache vite fait avec une pince. Me voila « ready » à affronter le destin pour ma soirée.

J’éteins la veilleuse avant de quitter la tente et me dirige discrètement vers la tente de Vincent.

Ahmed et Mélissa ne sont plus là. J’appelle mais on ne répond pas. J’ai l‘impression qu’il n’y a personne. J’avance un peu vers la zone éclairée  par la veilleuse et à cet instant je sursaute car je m’aperçois que Vincent est là assis sur un fauteuil en rotin et il m’observe en silence.

-« Je suis content que tu sois revenue aussi vite Amina, tiens prend ma place dans le fauteuil : Tu seras peut être plus à l’aise si tu n’es pas à la lumière ? » Je réplique en m’asseyant « pas de soucis ! Mais si je ne voulais pas te répondre, je ne serais pas là ! »

C’est vrai qu’à cette place je me sens bien. Je croise les jambes très haut mais je ne me rends pas compte de l‘effet car je ne vois pas son regard.

-« Tu es prête pour le jeu de la vérité alors ? Je commence ? Je souris et dis pour allumer un peu : « Juste vérité alors pas action ? ».

-« L’action? On verra peut être plus tard qui sait ? Je répète « qui sait ?  Mais dépêche toi moi je commence à avoir faim !»

Ok j’y vais !

- Tu aimes bien allumer ? « Pas du tout non, c’est pas mon genre. »

- ça t’excite de te rendre-compte que tu plais aux mecs ? « Oui j’aime bien et ça m’amuse aussi ».

- Avec Grégoire tu prends ton pied ? « Oui parfois ».

- Tu aimerais bien qu’il assure plus c’est ça ? « Je ne sais pas ce que tu entends par il assure ».

-Je vais être plus direct ok ? Je fais un signe de tête affirmatif.

-Tu es comblée sexuellement ?  J’hésite par finis pas lâcher un petit « non pas vraiment ».

-Il te prend par derrière parfois ? « Non »

-C’est toi qui ne veux pas ? « Non on ne l’a jamais fait tous les deux c’est tout »

-Ah bonne nouvelle ! dit il en riant il rajoute « tu le suce quand même ? « Oui »

-Il sourit et dit –« On se demandait avec Farid si tu avalais (et à ce moment là, Farid qui se trouvait dans un coin sombre se place à côté de Vincent) Je réponds « C’est un traquenard votre truc ? Il était prévu que je réponde à tes questions mais je n’ai jamais dit que j’étais d’accord pour qu’il soit présent »

-Mais non ce n’est pas un piège Amina ! Ça te beaucoup gêne qu’il soit là ? Ça change quoi pour toi ? « C’est vrai que ça ne change rien, mais j’aurais bien aimé le savoir ! » (En vérité ça m’excite beaucoup plus de répondre en présence de Farid).

-Ok ! On continue alors si tu es d’accord ? « C’est bon ! Je suis d’accord ! »

-Réponds à la question alors ! Tu avales quand tu suces ? (J’aurais bien aimé qu’il soit un peu plus délicat dans ses questions, du moins pour commencer). « Parfois oui ».

-Franchement je m’en doutais ! Petite cochonne ! « Pourquoi cochonne ? J’ai dit que j’avalais parfois quand que je suce mon mec! ».

-Tu as dit tout à l’heure à mon ami Farid que tu ne portais jamais de soutif ? Et que tes seins n’en avaient pas besoin ? « J’ai dit que ce soir je n’avais pas de soutif ! Et c’est vrai que j’ai une poitrine qui ne tombe pas. Mais je n’ai pas encore eu d’enfant ! »

-Taille de bonnet ? : « 95D »

-On peut voir si tu dis la vérité ? « Ça c’est action, mais pas vérité ! »

-Peut être qu’on fera action plus tard alors ? « Peut être oui  »

-Peut être que tu ne porte pas de culotte non plus ? « Non, je l’ai lavée ce midi et elle n’est pas encore sèche ».

-Il se tourne vers Farid avec un sourire entendu et dit : « On verra plus tard alors ! »

-Passons aux questions plus sérieuses maintenant Ok ? Je hoche la tête (je commence à sentir que c’est humide entre mes cuisses). Qu’est ce qu’il va bien pouvoir me demander de plus ?

-A quel âge tu t’es faite dépucelée ? « À 13 ans »

-Précoce la petite! Tu as de l’expérience alors ? Combien de mecs tu t’es déjà tapé depuis? (Ses questions m’énervent un peu parce qu’elles m’humilient mais en même temps c’est ce que j’attends de lui, c’est excitant et je veux voir jusqu’où il va aller).Je répond en souriant : « Je ne sais pas je n’ai pas compté !».

Il sourit un peu, (il se demande si je plaisante ou pas).

-Tu as commencé à te branler à quel âge ? « Je ne sais plus trop, vers 10 ans mais je préfère les mots caresser ou toucher, c’est plus juste».

-Ok à 9 ans tu te caressais, mais aujourd’hui à 24 ans tu te branles alors ? On peut dire ça ? « Oui si tu veux ».

-Tu le fais souvent ? « Assez souvent oui»

-Bien ! Souvent c’est quoi pour toi ? Plus d’une fois par semaine ? Plusieurs fois par jour ? « 3 ou 4 fois par semaine »

-Tu as des godes ? Des vibros ? « Oui 1 vibro et un gode »

-Tu te les enfiles par derrière aussi ? « Oui ça m’arrive »

-Tu l’as déjà fait avec plusieurs mecs? « Pas souvent, mais ça m’est arrivée oui »

-Donc le fait que Mélissa ait baisée 2 mecs ce soir ça ne te choque pas ? « Chacun fait ce qu’il veut ! Je te l‘ai déjà dit… Je ne juge personne moi ! Si ça lui plait et si toi ça ne te dérange pas ? Non ça ne me choque pas ».

-Toi tu l’as déjà fait avec plus de 2 mecs ? « Oui 3 mecs »

-En même temps ou les uns après les autres ? « En même temps, mais comme je te l’ai dit ce n’est pas arrivé souvent ».

-Soit plus précise combien de fois avec 2 mecs et combien de fois avec 3 mecs en même temps ?

« Deux fois avec  trois mecs et quatre ou cinq fois avec deux mecs »

-Ce soir tu pourrais envisager de te faire mettre  par trois mecs ? « Non, absolument  pas ! »

-Et faire l’amour avec deux types ce soir? Tu crois que c’est possible ?  Je réponds : « Ça c’est action ! »

-Non désolé c’est vérité : C’est juste une question ! « D’accord je vais répondre mais c’est la dernière ! »

-Tu réponds à celle-ci et ensuite une toute dernière question de Farid. Ok ? « Ma réponse pour la question c’est que je ne sais pas encore… Je ne le ferai que si vraiment j’en ai envie. J’attend ta dernière question Farid»

Farid s’avance vers moi me regarde longuement et dit « je la réserve pour plus tard si tu veux bien ». Je pense : Zut ! J’aurais bien aimé qu’il me pose une question aussi pour le cerner d’avantage. Je dis : « Pas de problème je te répondrais comme à Vincent »

Je me lève du fauteuil et me dirige vers la tente ou est disposé le buffet.

Nos amis belges ont retrouvés des compatriotes parmi les autres touristes et je pense d’après leurs rires bruyants qu’ils ont dû amener de la bière dans leur glacière… Moi, en ce moment je boirais bien une coupe de champagne ! Mais malheureusement il n’y a que sur l’eau gazeuse !

Je profite d’un instant aux toilettes pour me rafraichir un peu et remettre ma culotte qui est enfin sèche.

Le repas se passe tranquillement. Je manque d’appétit et je ne fait que grignoter ce magnifique buffet. Seuls les fruits, raisin, melons et pastèques me font envie…

Farid me propose ses fameux gâteaux fourrés dont Mélissa avait profité. Je lui demande ce que sont exactement ces pâtisseries et il se lance dans des explications fumeuses de « recettes berbères ancestrales faites pour les jeunes mariées et les femmes amoureuses etc. etc. » Je me méfie un peu et lui dit en riant que moi je n’ai pas besoin de tout ça ! Mais il insiste tellement bien, il m’assure qu’il n’y pas de piège que ça m’aidera à me lâcher etc. Il est tellement persuasif le beau Farid que je finis par en croquer 2 ou 3 avec un thé à la menthe. Je ne les trouve pas mauvais, mais rien d’extraordinaire au gout non plus…

Mélissa a réapparu, égale à elle-même, c'est-à-dire toujours un peu l’air d’être ailleurs et pas très souriante. Elle n’a pas remis sa robe arabe mais porte un débardeur sous lequel ses seins pointent et une jupette en jean. Je lui dis « où étais tu passée ? Tu as dormi cet après-midi ? » -Non pas vraiment répond-elle mais j’ai rechargée les batteries et maintenant j’ai une forme d’enfer ! Ou est Grégoire ? » Je lui dis qu’il est souffrant. Elle me regarde en souriant à moitié et rétorque : « Oh pas de chance Amina ! Tu vas être obligée de supporter Vincent toute la soirée ma pauvre ! »  Je ne sais pas comment je dois prendre ça ! J’espère qu’il. ne lui a rien dit à propos du petit jeu de tout à l’heure. Je lui réponds que de toute façon je ne vais pas m’éterniser ici.

Je sors prendre l’air. Le ciel est magnifique ! Je n’ai jamais vu autant d’étoile à la fois ! Vincent me rejoint, en profite pour me serrer de près et a les mains baladeuses. Je ne lui fais aucune remarque et il s’enhardit à me mettre la main aux fesses. Je lui enlève doucement la main et lui dit en riant qu’on n’était pas encore passé à la phase action.

Il ne se vexe pas et demande si je suis d’accord pour aller dans une tente inoccupée qui est super bien aménagée et réservée normalement à des VIP. Je lui demande si Mélissa sera là et lui répète ce qu’elle m’a dit il y a un instant. Il me répond de ne pas m’inquiéter, il ne lui a pas du tout parlé de moi et me dit qu’elle était parti au village pour la soirée folklorique avec la bande des Belges.

Je lui demande qui il y aura à part nous deux dans cette tente VIP. Il répond qu’il ne sait pas trop mais pas beaucoup de personnes. Seulement des responsables de l’agence, vraisemblablement, Farid et peut être des amis à lui.

Je n’ai pas envie de retourner près de Grégoire qui dort, je n’ai pas du tout sommeil et je finis par accepter cette proposition qui ne me semble pas très honnête, mais bon ! On verra bien ! Je ne suis plus une oie blanche et on n’est pas invitée tous les jours dans une tente d’émir !

La tente est immense, décorée à l’orientale de façon magnifique et elle comporte plusieurs cloisonnements. Dans l’entrée Farid est là, il discute avec un homme d’environ 50 – 55 ans, petite barbe grise, habillé tout en blanc. « Je vous attendais ! dit-il je vous présente un ami qui tenait à vous rencontrer ! Docteur Aboubacar je vous présente Amina : Elle a 24 ans je crois et c’est une infirmière ! Enchanté ! réplique le type « travail difficile ! Depuis longtemps ? Je réponds « presque 3 ans maintenant ». J’espère ne pas avoir besoin de vos services ce soir réplique-t-il et je lui renvoie le compliment souriant de toutes mes dents en disant moi non plus docteur ! Il a le dernier mot et dit « j’espère pour vous car je suis gynécologue ! ». (Très drôle ! Je me demande s’il dit la vérité ou s’il plaisante).

Farid nous guide vers un salon et je m’assoie sur un canapé. Vincent se place sur des coussins en face de moi. J’ai la tête un peu folle comme si j’avais un peu bu mais j’ai la gorge sèche et j’ai les pointes des seins qui me font mal car ils frottent sur le tissu doré de la robe. Inconsciemment je me touche la poitrine.

Farid me dit : « mettez vous à l’aise ! Vous pouvez déboutonner votre caftan ! Ici personne n’entrera sans y être invité rassurez-vous ! Vous voulez un peu d’eau fraiche ? « Je dis que oui je veux bien un verre d’eau gazeuse (et comme j’ai un peu la sensation d’étouffer dans cette tente je déboutonne le haut de ma robe).

Farid, voyant que je m’évente et que je suis mal à l’aise dans cet espace confiné, me propose un vêtement  moins chaud que celui que je porte. Je suis d’accord et il me fait choisir parmi 5 ou 6 modèles qui sont accrochés sur des cintres dans une « pièce » voisine. En effet ils sont beaucoup plus légers que le caftan  que je porte depuis le matin, mais ils sont également plus suggestifs et transparents. Ce sont plus des chemises de nuit, genre nuisettes mais plus longues. Je choisis une jaune orangée moins transparente que les autres ; mais à l’essayage elle me serre trop la poitrine. Je change donc pour une verte pâle qui m’arrive sous le genou. Seul inconvénient : Elle a un décolleté qui dévoile quasi complètement la poitrine.

J’hésite un instant mais je n’ai plus envie de remettre ma lourde robe après avoir essayé ces robes de fées. Donc je l’enfile et me voila revenue sur mon canapé. Vincent dit

 –« effectivement 95D ! » Je souris et réponds que du coup j’évite un gage action !

Farid me complimente sur le choix de ma robe et je l’en remercie.

Il  dit « je peux demander une petite faveur en échange de la robe ? »  

Je lui réplique : « Qui ne tente rien n’a rien ! » (Ça doit être le fameux effet des pâtisseries berbères). Il me demande l’autorisation de faire entrer le Docteur parmi nous et également s’il peut changer sa question « vérité » en gage « action » ? (Je vois le piège mais je suis tellement désinhibée après ce questionnaire d’ordre sexuel, le contexte assez particulier de l’hébergement et aussi le fait que Farid me plaise que je réponds après avoir hésité un moment : « Je suis d’accord ».

Farid fait asseoir le docteur sur un fauteuil en face de moi et en me regardant me dit «Amina mets toi debout au centre du tapis et remonte le bas de ta robe en tournant su toi même. »

Je me dis que là les choses sérieuses vont commencer ! Je m’exécute. Je me mets sur la pointe des pieds, je tourne lentement sur moi-même et tout doucement je lève le bas de ma robe. Je me rends bien compte qu’étant à contre-jour avec ma robe si mince, le spectacle doit être chaud !

Mais je m’en fiche ! Ce jeu me plait c’est très excitant et j’ai envie de profiter de cette soirée.

Mais tu as une culotte dit Vincent ! Tu triches ! Tu as menti ! Un autre gage action !

J’essaie d’expliquer que j’avais dit la vérité lorsqu’il m’avait posé la question et que je l’ai remise avant le repas ! « Je ne te crois pas ! Tu es une allumeuse ! » Réplique-t-il.

Je m’arrête de tourner et je vais pour me rasseoir quand le Docteur Aboubakar intervient en disant qu’il croit que je suis de bonne foi,  mais que malgré tout, pour être juste, je dois enlever ma culotte et qu’ensuite ce sera à moi de décider pour la proposition de Vincent d’effectuer un nouveau gage…Que de toutes façons nous sommes ici pour passer une bonne soirée, que je suis très belle, jeune et sympathique etc.

Quand on me prend par les sentiments et qu’on y met les formes, je veux bien admettre mes torts. Donc, je prends le bas de ma robe avec les mains et le tient avec  mes dents. Je fais deux ou trois tours  sur moi-même et le dos tourné vers les trois spectateurs je fais descendre doucement ma culotte le long de mes cuisses et de mes mollets et la lance sur le canapé d’un coup de pied. Puis, je me tourne vers eux, les yeux cachés par la robe et j’attends quelques instants en leur faisant face, les jambes légèrement écartées sans bouger, puis j’ouvre la bouche pour faire retomber la robe.

Farid a l’air un peu hébété mais ne dit rien. Aboubakar marmonne « magnifique » dans sa barbe. Seul Vincent dit « Tu te rase le minou, mais tu te laisse le pubis naturel ma coquine ! Tu sais bien ce qui excite les mecs ! Tu es loin d’être une débutante ! » Il rajoute « Tu es d’accord pour un autre gage ? »

J’hésite, mais en même temps j’ai envie de m’éclater ce soir ! J’en ai trop envie ! Mais je veux le faire mariner un peu. Je dis –« Oui à condition qu’on ne mette pas de lumière trop violente ça me fait mal à la tête » Vincent se précipite pour éteindre les éclairages indirects et allume un spot halogène qui n’éclaire que le canapé.

La pièce est quasiment dans la pénombre. Seul le canapé est éclairé Je dis « Comme cela ça va ! C’est quoi le gage ? J’entends les hommes parler à voix basse, ils ne semblent pas d’accord sur ce que je vais devoir faire.

Je sens que je commence à fondre et discrètement je me passe la main entre les cuisses pour m’essuyer et  je me dis que les gâteaux ont vraiment un effet aphrodisiaque sur moi, mais sans diminuer mon discernement, comme certains autres produits.

Farid s’approche de moi et me dit doucement : On n’arrive pas à se mettre d’accord du tout. Chacun a sa propre idée. Alors on a décidé que c’est toi-même qui allais choisir ton gage ! Tu es d’accord Amina ?

(Leur proposition ne me plait pas du tout. J’ai toujours préféré qu’on m’impose les choses, quitte à être un peu frustrée ou humiliée, sinon je n’arrive pas à avoir de plaisir.

Je réfléchis un instant et je me décide. Je vais être prise pour une vraie salope mais j’assume de toute façon).

Je déclare : « Je suis d’accord pour choisir moi-même un gage mais vous pourrez quand même ensuite m’en infliger un chacun votre tour».

Ils n’en reviennent pas et sont bouche-bée. Je les ai prises de court. J’entends distinctement Vincent qui dit « Quelle salope ! Pire que Mélissa. Je m’en doutais ! »

Mais moi  je m’en fou de ce qu’ils pensent! Je me fou de tout. J’ai juste envie d’assumer mes fantasme et de jouir, d’être leur chose, leur soumise pendant cette soirée.

Après quelques instants Abou dit : Nous voulons savoir si vous mettez des limites par rapport à vos gages et à ce qu’on ne peut pas vous proposer?

J’essaie de rassembler mes idées mais je n’y arrive pas : Je suis consciente, je sais très bien ou je suis, ce que je fais et ce que je risque de subir en omettant de préciser ce qu’est pour moi  la limite à ne pas dépasser, mais ma curiosité et mon désir sont les plus forts ce soir et je dis simplement : « je verrai bien. Si c’est trop, je refuserai».

« Parfait » dit Farid « no limite alors ! Quel  est ton choix pour ton gage ? »

-« J’ai décidé de m’exhiber devant vous. J’attends que vous me disiez ce que je dois faire ».

Farid : « Tu veux vraiment t’exhiber? Je fais signe oui de la tête.

Ok nous allons bien faire les choses et je suis sûr que tu vas aimer ! » Il sort et revient quelques instants plus tard avec un caméscope monté sur un trépied et l’installe à 2 mètres face à moi.

Je suis paniquée et je lui dis « Que comptes-tu faire? Je ne suis pas d’accord, ce n’était pas prévu de filmer ou de prendre des photos ».

F :- « Tu as dit sans limite non ? » - Oui, mais je ne pensais pas que ce serait filmé !

F -« Tu porteras un niqab et comme ça on te  reconnaitra pas et puis le film, ne t’inquiètes pas, c’est juste pour ma collection personnelle d’amatrices.»

- C’est quoi un niqab exactement ? Un masque ?

(Il me tend une sorte de voile noir qui s’attache par un cordon dans le cou et qui cache le visage. On voit seulement les yeux. Je me regarde dans un miroir. Avec mon caftan transparent très décolleté et ce voile c’est assez bizarre comme image. Ça fait prostituée arabe je trouve). Je me retourne et je dis : « Avec le niqab je suis d’accord ».

Vincent intervient assez rudement  « C’est bon ! Allez couche toi sur le tapis ! C’est moi qui commence à te dire ce que tu dois faire ! ». (Je m’allonge au milieu du tapis. Farid dirige l’halogène vers moi et je me dis que cette fois je ne peux plus revenir en arrière. Les dés sont lancés !)

V : « C’est bon Farid ? Ça filme ? Allez belle petite salope ! commence par baisser ta robe jusqu’à la ceinture. Je m’assoie, j’ouvre tous les boutons du caftan et je le baisse comme il me l’a demandé. Je me tourne vers la caméra.

V : « Sa poitrine me fait craquer moi ! Pas vous ? Mets-toi à quatre pattes, face à nous ! » (Je m’exécute et naturellement mes seins, dans cette position s’allongent).

V : « J’espère que ton cul est aussi beau que tes nichons !  Fais nous voir ça. Tournes le vers la caméra». (Je pivote sur les genoux et me cambre le plus possible pour que le tissu de la robe se tende sur mes fesses).

V : -« Enlève complètement la robe et à quatre pattes ! ». (Je me mets debout et fais tomber mon caftan à mes pieds, Je suis nue, juste avec le voile noir sur mon visage et je reste face à eux sans bouger avant de me remettre à genoux).

Farid : -« Pourquoi tu te rase la chatte de cette façon ? Les poils du pubis tu ne les coupes jamais ? Et tu te rases les lèvres à partir du clitoris ? C’est pour avoir la même chatte qu’une gamine de 13 ans ? Comme quand tu as baisé pour la 1^ère fois non ? Tourne-toi montre nous ton cul maintenant. Tu le rases aussi salope ? (Je ne réponds rien, mais la façon dont il me parle me fait tourner la tête et m’excite vraiment énormément).

Farid. :-« Allez à 4 pattes et écarte toi les fesses avec les mains. (Je me mets à genoux et j’écarte un peu les fesses comme il me l’a demandé).

Docteur Aboubakar : « Non ma belle ! Mon ami Farid vous a demandé d’écarter les cuisses et aussi les fesses avec les mains parce qu’on veut voir votre cul. (Je me penche en avant et plaque mon thorax par terre contre un coussin, ensuite j’écarte le plus possible mes fesses de mes deux mains). Les 3 hommes s’approchent tout près de moi et je remarque qu’ils ont mis des chèches devant leur visage à cause de la caméra.

Docteur Aboubakar :-« Elle a vraiment des fesses magnifiques cette petite ! Comme ça, on a l’impression que c’est une gamine complètement sans poil parce qu’elle se rase le cul aussi ! Mais en regardant bien, on remarque que ce n’est vraiment pas l’anus d’une jeune fille de 13 ans ! (Et il rit de sa remarque).

Vincent ;-« Reste comme ça dans cette position de cochonne et écarte la chatte maintenant. (Je relâche mes fesses et avec le pouce et l’index de la main droite j’écarte les lèvres de ma vulve. (Je sens que je suis trempée).

V –« Regardez comme elle mouille la petite infirmière ! Je t’ai dit d’écarter la chatte ! Pas de l’entrouvrir ! Allez ! Montre-nous si tu es accueillante ! (je reprends ma position en écartant mes fesses et ma chatte des 2 mains).

V-« C’est mieux ! Tu es bien large pour une fille de 24 ans ! C’est bien ton âge non ? Tu n’as pas eu d’enfant ? Je ne te crois pas ! Et il rit très fort. (J’encaisse la méchante remarque mais je ne dis rien) Il continue : Le fist-fucking  tu connais ? (Je ne réponds toujours rien) Réponds quand je te parle et reste dans cette position !» -Oui je sais ce que c’est. « Tu aimes ? »

-Je ne l’ai jamais fait. Il réplique « Et bien ça va être une expérience  nouvelle pour toi alors ! Ce sera mon gage !

Farid s’assoie devant moi et me tient les poignets fermement pendant que le Docteur commence à se masturber lentement devant mon visage. Il a un sexe énorme, bien qu’il ne soit pas complètement en érection, tel que je ne l’aurais jamais imaginé pour une personne de son âge. Je pense qu’il veut que je lui pratique une fellation alors je commence à soulever un peu le voile.

Docteur Aboubakar –« Non ma belle je ne veux pas que tu me suce. Pas tout de suite ! Sois patiente ! Moi aussi j’ai choisi mon gage ! (Il se place derrière moi et m’enfonce ses doigts dans la vulve (j’attends ce moment depuis que j’ai commencé à m’exhiber devant eux !) et il les introduit ensuite dans mon anus. Pui, il recommence 2 ou 3 fois).

« Je lui ai mis 3 doigts dans la chatte et elle n’a même pas bougé ! Elle doit se servir de son gode plus souvent que de bites !

Il se met à genoux derrière moi et crache dans mon anus, ensuite il place son sexe qui est maintenant complètement bandé contre mon anus et me sodomise lentement d’un seul coup. Je ne peux pas retenir un gémissement de douleur et de plaisir.

Je regarde entre mes jambes et je vois que son sexe est complètement entré en moi.

J’ai envie de me masturber en même temps qu’il m’encule, mais Farid me tient les mains. Je suis complètement ouverte maintenant. J’ai envie de sucer et de tout donner.

Farid dit –« Comme vous disiez Docteur,  elle n’a pas l’anus d’une pucelle !

Avance Vincent ! Il ne faut pas être timide avec la demoiselle ! Elle veut sucer, alors fais lui plaisir. Vincent baisse son bermuda et me met sa grosse queue près du visage. Je tourne un peu la tête tout en continuant à regarder Farid et je lui dis –« Je veux la tienne ! » Farid tend mes poignets au docteur Aboubakar qui contenue à me sodomiser, à genoux derrière moi. Celui-ci me prend les bras et les tient fermement derrière mon dos. Je suis obligée de relever le buste. Puis, Vincent s’allonge sous moi et m’attrape les seins  avec les deux mains.

Farid soulève un peu mon voile qui tombe à moitié et place son sexe devant ma bouche.

Ces marocains sont vraiment bien montés !

J’essaie d’avancer mon visage mais il se retire. Il dit –« demande gentiment » Je le regarde l’œil mauvais et cette fois il soulève complètement le niqab et me place sa bite contre mes lèvres. Je m’en saisis et la suce avidement.

Le docteur Aboubakar retire son sexe et Vincent s’introduit dans mon vagin sans effort car je mouille comme une fontaine. Il dit une longue phrase en arabe qui fait rire Farid.

Vincent demande de traduire. « Il dit que cette fille a la chatte aussi large que sa jument ! 

Il veut la baiser à deux en même temps ».

J’ai un mouvement de recul, mais le Docteur Aboubakar, derrière moi, me maintient toujours les bras fermement.

Farid me prend par les cheveux et me tire un peu la tête en arrière et m’enlève complètement le voile (qui ne cachait plus rien de toute façon depuis un moment) et il dit « On t’a demandé tout à l’heure si tu avais des limites et tu as répondu qu’il n’y avait pas de soucis !

Tu te souviens ? Alors assume ma belle ! De toute façon je suis certain que ta belle chatte est bien capable d’avaler ces deux grosses bites et nt me dis pas que c’est la 1^ère fois que tu y a droit !

Je tremble, je n’arrive plus à contrôler ma respiration et mon cœur s’emballe.

Farid retire son sexe de ma bouche et dit : -« Alors ? » Je ne réponds rien.

Il dit « Allez-y ! Elle est d’accord pour la double vaginale »

Je sens que Vincent essaie de rentrer son sexe dans mon vagin au dessus de celui du docteur, mais il ne bande plus très dur et il n’arrive pas à le faire pénétrer.

Il me dit « penche-toi un peu en avant ! Ne cambres pas les fesses !».

J’essaie de faire le dos rond et tout à coup, je sens que leurs deux queues sont en moi. C’est une sensation d’une intensité que je n’avais jamais ressentie de ma vie.

Je sens l’entrée de ma chatte subir une dilatation extrême, aussi importante qu’avec un « fist toy ».

Petit à petit, les deux sexes qui me pénètrent prennent leurs places dans mon vagin, la douleur disparait et fait place à une onde de plaisir qui m’inonde.

J’espère que je ne vais pas jouir tout de suite et je voudrais que le temps s’arrête à ce moment.

Les deux hommes me pénètrent en alternance ou parfois ensemble et Vincent me tapote et me branle le clitoris en même temps.

Je sens que Farid, que je suce toujours, est au bord de l’explosion.

Vincent : « Oui elle vient ! Salope !  Elle va jouir ! »

Je suis dans une autre planète maintenant et je comprends tout à coup ce que veut dire « la petite mort ».

J’ai un grand flash dans la tête. Je sens du liquide chaud sur mes fesses et presque tout de suite après, Farid crie.

Il me tire les cheveux en arrière avec une main et éjacule dans ma bouche pendant qu’il me saisit le menton de l’autre main. J’avale à trois ou quatre reprises sans le quitter des yeux.

Je dois lui lécher le gland d‘où il fait sortir les dernières gouttes et il me frappe le visage à plusieurs reprises avec son sexe qui commence à débander.

Je ferme les yeux m’écroule à plat ventre sur le tapis.

Vincent me met une bonne claque sur les fesses en disant : « Vraiment tu es encore meilleure que je l’avais imaginé! ».

Farid me caresse un peu la joue et arrête le caméscope, il parle avec en arabe avec le Docteur Aboubakar.

Je me relève, et dit : « Je dois rentrer maintenant ». Farid me rapporte ma robe marocaine et je l’enfile. Je lui demande s’il peut me donner la carte mémoire du caméscope. Il me dit « sans problème tu l’auras dans 10mn mais le Docteur Aboubakar voudrait te parler si tu veux bien ». Je dis « il veut quoi ? ».

Farid :-« Je ne sais pas du tout il est dans un salon juste à côté, je t’accompagne ? » Je réponds oui.

Je récupère mon sac, lâche mes cheveux qui ont séché, me donne un coup de brosse. Je jette un coup d’œil dans un miroir et je ne me reconnais à peine. J’ai les yeux comme des soucoupes avec des cernes énormes. Je dis-« Il y avait quoi exactement dans les gâteaux ? ça marche bien en tous cas !

Farid sourit et dit :-« Rien de spécial en fait, seulement quelques épices ! Tout se passe dans la tête ! ». Je n’en reviens pas ! Moi qui étais sure d’avoir été boostée par un super aphrodisiaque ! Alors c’était simplement l’excitation du moment et du contexte ? Des hommes nouveaux et entreprenants ? Peut être aussi un manque de sexe ces derniers huit jours ? Et peut être aussi une frustration de mes fantasmes ces trois dernières années ? J’étais trop sage je pense et c’était contre nature ! J’ai de gros besoins de sexe depuis très jeune on ne peut pas aller contre sa nature !

Je rejoins le Docteur Aboubakar qui m’attend dans un salon feutré. Il me fait asseoir à côté de lui sur un petit canapé.

Il me dit –« Je voulais vous voir avant que vous ne repartiez demain, car je voulais vous dire que j’ai vraiment apprécié cette soirée. Vous êtes le type même de la femme que qui me plait et pour plusieurs raisons. Vous avez eu l’air d’apprécier aussi ? Je réponds « oui j’ai aimé je le dis franchement ».

Dr Ab.-« Très bien, nous nous en étions rendu-compte. Vous n’aviez pas eu de relations sexuelles depuis longtemps ? Je réponds –« Oui quelques temps. Enfin pas de relations sexuelles de ce niveau en tout cas. Plusieurs années»

Dr Ab.-« On peut se parler franchement ? Tout se dire tous les deux ? Vous voyez il n’y a personne d’autre». Je hoche la tête affirmativement.

Dr Ab.-« Parfait. Je dispose d’une propriété très agréable en France près de La Baule. Vous connaissez  cette partie de la côte? Moi j’aime beaucoup » Je réponds que oui je la connais assez bien.

Dr Ab.-« Nous y organisons des réceptions avec des personnalités certains weekends pendant l’été et j’aimerais pouvoir vous y rencontrer ».

–Moi ? Et pour quelles raisons exactement?

Dr Ab.-« Ce que vraiment j’ai pu apprécier chez vous dans la soirée un peu folle que nous avons partagée, c’est que lorsque je vous ai demandé si vous avez des limites à ne pas dépasser, question sexe vous avez dit que vous n’en avez pas. »

 -J’ai dit que si je trouvais que c’était trop je refuserai.

Dr Ab.-« Vous avez dit aussi que vous ne saviez pas si vous feriez l’amour avec deux hommes à la fois et vous l’avez fait avec trois hommes n’est-ce pas ?

–Oui c’est vrai.

Dr Ab.-« Si il y en avait eu quatre ce soir pour vous ? Vous les auriez baisés ? Dites moi la vérité ».

– Ce soir ? C’est possible oui.

Dr Ab.-« Même chose pour la fellation ! Vous aviez dit que vous n’avaliez le sperme qu’avec votre fiancé et pourtant vous l’avez fait avec Farid !

–Je vois qu’il n’a pas de secret pour vous ! Et puis Farid me plaisait.

Dr Ab. –« Comme je suis un homme d’expérience, je pense moi, Amina que vous vous êtes une jeune femme qui aime être dirigée, qui aime qu’on l’a secoue un peu, qu’on l’oblige à faire des choses que votre  conscience refuse de faire. Vous vous dites « non ça ce n’est pas bien ! Ce n’est pas moral ! C’est inavouable ! Je n’ai pas le droit » Mais comme on vous force un peu, on vous y « oblige » vous finissez par le faire et vous en jouissez encore plus ! Tout le monde sait que ce qui est interdit est bien meilleur que ce qui est autorisé ! J’ai raison Amina ou je me trompe ? (il avait vraiment cerné ma personnalité ce Docteur !) Je dis -oui c’est vrai vous avez raison, c’est un peu comme ça que ma sexualité fonctionne.

Dr Ab.-« Beaucoup de femmes fonctionnent de cette façon, vous n’êtes pas la seule Amina vous savez ! – C’est possible, cependant j’assume pas mal de choses quand même, je trouve !

Dr Ab.-« Justement je voulais faire un point avec vous sur ce point là. Dans ma propriété de La Baule, comme je vois l’ai dit j’y invite quelques amis importants et ils aiment particulièrement assister à certains spectacles réalisés par une jolie femme qui pratique le sexe sans tabou et qui assume ses actes, comme vous en fait.» -Quels genres de spectacle exactement ?

Dr Ab.-« C’est très divers. Cela peut être tout simplement une scène d’amour à plusieurs comme nous l’avons fait ce soir, avec plus ou moins d’hommes, et plus ou moins de pratiques sexuelles que vous connaissez.

Cela peut être aussi la simulation d’une scène de viol par exemple ou de l’humiliation intense ou aussi un examen gynécologique complet ou le casting pour un film pornographique avec le questionnement préalable, puis les essais de scènes filmées. Il peut même y avoir des animaux.

Mes amis sont extrêmement friands d’émotions intenses » -Pour quelles raisons je me prêterai à ces jeux ? Quel intérêt pour moi et pour ces femmes ?

Dr Ab.-« Je suis certain qu’au fond de vous-même la perspective de pratiquer ces jeux sexuels devant des personnes qui vous regardent, vous plaît ! Vrai ou faux ? – Oui c’est vrai pour certains actes mais pas tous non plus ! J’espère que vous n’avez pas imaginé que des mineurs pourraient participer à ça ?

Dr Ab.-« Ce n’est absolument pas le cas ! Nous respectons la loi française à la lettre et je respecte la sexualité des mineurs. Il n’y a rien de pire que ces gens qui profitent de la faiblesse des jeunes mineurs et qui les exploitent. Moi je n’en fais pas partie ». –Très bien ! Vous me rassurez sur ce point ! Autre chose ! Vous parliez d’animaux ? Quoi comme animal ? Plusieurs ? Berk !

Dr Ab.-« C’est une pratique assez courante malgré le doute que vous semblez avoir la dessus !  Je disais animaux, mais la plupart du temps c’est avec un chien. Dans certaines scènes on voit des femmes le faire avec un cochon ou un cheval mais on ne voit ça que dans des films et se sont des montages ».

–J’imaginais des trucs super dégueu. ! Moi toutes ces choses « pipi – caca » etc. ça me donne envie de vomir et ça me coupe tous mes moyens. Si j’accepte votre proposition c’est que j’en prendrais du plaisir aussi, je ne veux pas m’obliger à faire ce que je n’ai pas envie ! Mais pour vos réception, il faut s’habiller et se pomponner, voyager ! Je n’ai pas le moyen de me permettre tout ça vous savez, une infirmière n’est pas très riche en France.

Dr Ab.-« Je sais tout cela Amina ! Il est bien entendu que tous vos frais seront payés.

Vous aurez du cash pour vous acheter les vêtements, les chaussures et les accessoires que vous voudrez. Ainsi que pour le coiffeur et les soins esthétiques. N’ayez pas de craintes vous serez gâtée. Et en plus vous serez amenée si vous le voulez, à rencontrer des hommes importants, vous profiterez du luxe de la villa et de ses agréments pendant la journée comme la piscine, les installations de sport le hammam, le jacuzzi etc. au même titre que les invités. Que pensez-vous de mes propositions ? –Je vous en remercie très sincèrement Docteur Aboubakar mais je ne vais pas vous rendre la réponse maintenant. Je suis très fatiguée, il est plus de minuit et je dois aller faire ma toilette (il sourit) et aller dormir !

Dr Ab.-« J’espère que votre fiancé n’a plus sa migraine et qu’il dort profondément !

J’avais deux choses à rajouter.

Primo : Si vous accepter de venir à ces réunions il faudra qu’on soit bien clairs vous et moi sur ce que vous serez prête à faire comme prestation. Donc je vais vous donner mes coordonnées téléphoniques et internet. Réfléchissez bien et faites moi signe dès que vous le voudrez. Dès que je reçois de vos nouvelles je vous renvoie le listing des scènes proposées, vous m le renvoyez dès que possible avec le choix que vous avez fait.

De toute façon les réceptions-spectacles ne commenceront pas le mois de juin 2014 maintenant.

-Secundo : Vous devrez venir avec une amie. C’est dans nos principes, vous ne pouvez pas venir seule pour des raisons de sécurité. Pour votre information j’ai eue votre amie Mélissa cet après-midi en entretien, exactement comme vous en ce moment et elle va certainement accepter ma proposition. Donc essayez de vous parler pour venir ensemble. – Mélissa ? Mais elle a des enfants ! Et puis il y a Vincent ! Il en dit quoi ?

Dr Ab.-« Non Vincent n’est pas au courant de certaines de ses activités intimes. Ils ont une vie un peu en parallèle tous les deux. En fait ils ne sont ensembles que pendant une partie des vacances. Mélissa a pas mal de qualités que je recherche vous savez !

–En fait on a participé toutes les deux à un casting et à un entretien d’embauche non ?

Dr Ab.-« Oui c’est un peu pour le même poste c’est vrai ! Mais elle a plus d’expérience que vous donc elle à moins de principes et de tabous que vous c’est bien normal. - -Vous voulez dire qu’elle « fait  tout ? »

Dr Ab-«  Oui sans aucune réserve ! (Et il rit) –ça vous étonne ? Ne lui répétez pas !  – Oui beaucoup même quand je vois l’image de femme et de mère qu’elle donne à tout le monde !

Dr Ab.-« Ne mélangeons pas l’amour de ses enfants et le reste ! Vous n’en avez pas encore et vous ne pouvez comprendre ! (Je reste sans rien dire… Je suis sciée de découvrir la vraie personnalité de ma collègue et mon ex « chef ».

Dr Ab.-«  Pour en terminer et je vous laisse aller dormir, dès maintenant il y a-t-il certaines scènes que vous refusez d’amblée parmi celles que j’ai citées il y a un instant ? Vous avez déjà vu un film X avec une femme qui se faisait lécher par un chien par exemple ? » - Oui, j’en ai déjà vu quelques fois.

Dr Ab.-« Et ça vous a fait quel effet ? » - En fait, ça m’a excitée d’abord et ensuite un peu dégoutée en même temps après avoir regardé ce genre de  film pour la première fois.

Mais par la suite, j’ai souvent pensé à ce film et ça m’excitait énormément pour dire la vérité.

Dr Ab.-« Vous aviez quel âge ? Quelles scènes vous avez vues exactement ? 

- J’avais 15 ou 16 ans et j’étais en Allemagne à l’époque, avec mes parents. D’ailleurs la bas la pornographie est beaucoup mieux vécue et moins tabou qu’en France et on trouvait des genres de films pornos qu’on ne trouve pas ailleurs. La scène qui m’a le plus marqué à l’époque c’était un chien qui prenait une femme à quatre pattes par derrière. (Je m’étais mise à trembler légèrement et j’avais de nouveau très chaud).

Dr Ab.-« Je vois qu’encore aujourd’hui ça a l’air de pas mal vous troubler d’en parler ! »

-Oui c’est vrai ! C’est un vrai paradoxe pour moi encore une fois ! Vous allez dire que c’est encore une chose inavouable et vous aurez  raison une fois de plus.

Dr Ab.-« En fait Amina, je vais être clair avec vous et pour une fois soyez claire avec moi, vous voulez me faire comprendre que vous avez un fantasme, depuis l’âge de 15 ou 16 ans ?

– Oui c’est ça Docteur Aboubakar.

Dr Ab.-« Et ce désir, ce fantasme inavouable dites le moi Mina ! » - C’est de me faire prendre par derrière par un chien.

Dr Ab.-« Dites plutôt : C’est de me faire enculer par un chien énorme pendant que des inconnus me regarde ou me filme ! Dites le moi comme ça Amina ! (ça y est je mouille encore comme une salope que je suis). -Je répète avec les  larmes aux yeux « oui c’et de me faire lécher et enculer par un gros chien pendant qu’on me filme et qu’on me regarde ».

Dr Ab.-« Très bien Amina je pense qu’on va bien s’entendre tous les deux et je suis sur que je vais avoir de vos nouvelles très bientôt ?  -je fais « oui » de la tête, je le salue et sors de la tente.

Je respire l’air de la nuit. J’entends des insectes ou des grenouilles qui chantent et tout cela me semble tellement simple après tout ça ! Je prends la direction de ma tente tout en pensant au couple que nous formons avec Grégoire. Je l’aime bien, il est gentil, charmant même, le gendre idéal comme on dit ! Oui mais voila moi je m’ennuie avec lui. Je suis vieille avant d’en avoir l’âge. Je ne suis pas encore casée ! Je décide dès notre retour de le lui dire et de rompre. Les amis et les parents seront carrément choqués mais moi j’ai envie de vivre.

Le Maroc m’a remis les idées en place ! Mais j’ai un de ces mal au cul moi ! Et en plus j’ai oublié ma culotte !